mardi 31 mars 2009

Dream Beater

Ambition where am I going?
outrageous signs weren't stalling
im not sure but she's no tender
where's all the coverage been
a vague answer's all you gave me
from entrusted wayward stories
and i'm caught up in this relay
nothing's the truth to me

everything's untrue
it's tough to move along until i'm being
caught up in this path to your whole world

i'm dodging provocation cause i'm constantly dispaired
and i'm running out of room while pushing dreams up over
lying over there

ambition where's our calling
i'm elated but i'm falling
i'm not sure but i'm not leaving
i'm counting soapboxes
a vague answer's all i gave you
and that's all you've asked me to do
and we're caught up in this relay
nothing's the truth to us

everything's untrue
it's tough to move along until i'm being
caught up in this path to your whole world

i'm dodging provocation cause i'm constantly dispaired
and i'm running out of room while pushing dreams up over
lying over there

and i'm running out of breath
it's time that bit me once
my vague reflection staring up at nothing
just forsaken up in arms

lundi 30 mars 2009

Drôle de vie...

Ce matin, un simple bruit m'a réveiller en sursaut. Ca m'arrive souvent, j'ai un sommeil très léger. J'ai l'impression que je suis connecté avec ma soeur, que quand elle se réveille et se lève pour commencer ma journée, je ne peux pas faire autrement que de me lever aussi.

Donc je me lève et je vais manger la même chose qu'à tous les matins, accompagnés de soeurette et de la cousine... Et oui, je vis avec une cousine. Jamais je pouvais penser que je verrai cette fille la à tous les matins, tous les midis et tous les soirs..

Après le repas, que j'ai englouti je dois dire, je suis aller me reposer sur le divan. J'ai toujours un coup de fatigue après avoir manger comme ca. Comme j'avais rien a faire aujourd'hui, j'ai piqué un petit somme pour faire passé le repas.

En me réveillant, cousine dormait, prélassé sur l'autre divan, je me suis donc fait un devoir d'aller la déranger bien sûr. Toujours drôle de la voir pogné les nerfs celle-la. Mais bien sûr, la soeur a piqué une crise et a commencer à me crier après, comme d'habitude lorsque je prépare ou fait un mauvais coup... Le restant de l'apres-midi a été plutôt relaxe, m'amusant avec un paquet de chose...

L'heure du souper est arriver rapidement, j'ai encore une fois avaler tout rond ma nourriture, en profitant des moments d'inattention de ma soeur et de ma cousine pour leur en voler, car j'en avais pas assez.

J'ai ensuite passé la soirée couché dans le salon, réagissant de temps en temps à ce qui se passait à la télévision. Vraiment une journée épuisante aujourd'hui.

Pas facile une vie de chien, c'est moi qui vous le dit..

Début d'un livre

- Merde!

Pour la première fois de sa carrière, John Baldwinn venait d'échouer. Deux hommes sont morts suite à un de ses gestes, malgré qu'il avait la réputation de toujours agir en fonction de la sécurité des gens qu'il tentait de protéger. Mais cette fois, deux balles avaient été tiré, les deux touchants la cible directement à la tête et John s'étaient retrouvé seul avec les corps morts gisant sur le sol devant lui.

- Il fallait t'attendre à ce que cela arrive un jour ou l'autre John, lança son supérieur, qui venait d'arriver près de lui. Tout le monde fait des erreurs, c'est ce qui fait que nous sommes humains.

- Peut-être bien, mais mon erreur a coûter la vie à un honnête travailleur qui était simplement là au mauvais moment. C'était une erreur de débutant, et je vais m'en vouloir pour le restant de ma vie.

- John, prend deux bonnes semaines de vacances, fait le vide et va réfléchir. Tu va nous revenir en pleine forme e revenant et refaire ce que seul toit peut faire avec autant de brio.

- Brio? T'appelle ce qui vient d'arriver du brio? J'appelle ça un échec monumentale. Tu te rend compte que par mon erreur, une famille sera privé d'un époux et d'un père? Privé d'un frère et possiblement d'un fils?

John se leva sèchement et se dirigea vers sa voiture, et sans dire un autre mot à personne, il démarra et s'en alla vers chez lui, en se remémorant sans cesse la scène qu'il avait vécu quelques minutes auparavant.

John est un négociateur hors-paire. Étant un homme de 45 ans, il exerce son métier depuis déjà plusieurs année et s'était doté d'une réputation d'excellence, n'ayant jamais échouer dans ses tentatives de négociation. Aujourd'hui cependant, c'était une tout autre histoire. John n'avait pas complètement la tête au travail, contrairement à ses habitudes. Conflits familiaux, il s'était quereller plus que jamais avec sa fille et elle avait claqué la porte en sortant, laissant comme derniers mots dans la tête de son père des paroles qui lui résonnèrent toutes la journée dans la tête: "Je te déteste, j'aimerais te voir coucher dans un cercueil!". John s'est dit que c'était une réaction normale pour une fille de seize ans qui venait de se faire interdire de voir le garçon qui lui plait, mais il ne pouvait pas effacer ces mots fracassant de sa tête. Les querelles familiales étaient pourtant fréquentes chez lui, John travaillaient souvent, trop pour sa femme et sa fille, et il était donc absent la majorité du temps. Cela provoquait beaucoup de chicane avec sa femme, et sa relation avec sa fille souffrait dû au manque de temps passé ensemble.

Sa journée de travail s'annonçait pour en être une plutôt banale, il n'avait pas de paperasse à écrire, ni rendez-vous de prévu. C'est seulement au début de l'après-midi que le téléphone a sonné; un vol de banque qui est devenu une prise d'otage. Encore une fois, pour John, cela restait quand même banal et une prise d'otage par un petit voleur de quartier qui avait vu trop grand ne lui avait jamais posé problème auparavant. Il était donc arrivé sur les lieux, prenant les renseignements que la police avait pu recueillir par rapport au braqueur. Il avait laisser partir tout le monde sauf un des employer. Selon les dires de ceux l'ayant vu à l'intérieur, il semblait dans la début trentaine, l'expression faciale légèrement désemparée et effrayée. L'homme n'avait, selon les témoins, pas de fusil, mais seulement un couteau. John en avait assez entendu et était maintenant prêt à faire son intervention.

- Mets-moi en contact avec lui.

- Le contact est établi m'sieur, dit l'officier en lui donnant le téléphone.

- Quels sont vos demandes? demanda John au braqueur.

- Je veux avoir un moyen de transport pour pouvoir m'en aller d'ici et fuir.

- Vous savez bien que les dirigeants ne voudront pas vous laisser partir ainsi, nous pouvons trouver autre chose ensemble.

- Tu ne comprends pas je crois, c'est pas de la négociation, mais une demande.

Le voleur lui raccrocha au nez, et John se dirigea vers le chef de police. La négociation s'annonçait plus compliquer que prévu.

- En résumé, il veut pouvoir partir d'ici sans aucune arrestation.

- C'est un non catégorique, surpasse toi et arrange toi pour sortir l'otage de là.

John se mit à réfléchir. Comment pouvait-il arriver à faire sortir le seul otage de la banque? Il se dirigea à nouveau vers le téléphone, et demanda à reprendre contact avec l'homme.

- Je souhaiterais m'entretenir directement avec toi, sans téléphone ou intérim. Acceptes-tu de me laisser entrer à l'intérieur, seul?

Après un moment de réflexion, l'homme accepta la requête de John et le laissa entrer à l'intérieur. John s'équipa d'une veste anti-balle et d'une arme à feu caché à l'intérieur de sa botte. Il n'aimait vraiment pas avoir à entrer en contact avec celui qui détenait les otages, mais cette fois, il ne voyait pas de quelle autre façon arriver à libérer l'homme avec lui. Il avança donc lentement vers la porte avec les bras lever, montrant au voleur qu'il n'avait pas d'arme dans les mains. La porte s'ouvrit devant lui et il entra, se retrouvant maintenant avec le braqueur et son otage.

- Il va falloir trouver un terrain d'entente face à tes demandes, car il m'est impossible de t'accorder une totale fuite sans qu'il n'y ait de suite. Mais je crois fortement que nous pouvons arriver à une entente.

- Crois-tu vraiment que tu es en bonne position pour négocier? demanda l'homme à John.

Suite à cette question, il sortit son arme à feu de sa poche, et jeta le couteau derrière lui. John s'attendait à ce qu'il ait une arme autre qu'un couteau, donc ce geste ne le surprit pas vraiment.

- Que dirais-tu de laisser partir ton otage et de me garder moi à la place? Ça ne change rien pour toi, tu gardes quelqu'un avec toi, et un homme innocent sera hors de danger.

- Personne ne va sortir d'ici, rétorqua l'homme. Tant que je ne pourrai pas sortir d'ici, personne d'autre ne le pourra. Tu sais ce que je veux, trouves le moyen de me le donner.

John se mit à réfléchir, il devait rapidement trouver un moyen pour que l'otage soit hors danger. Le moyen le plus rapide était, selon John, de se départir de l'arme à feu.

- Pourquoi est-ce que l'arme que tu tiens est nécessaire? Je crois fortement que nous pouvons négocier sans qu'aucune arme ne soit braquée sur personne. Comme tu vois, je n'ai pas d'arme dans les mains, il serait donc sans danger pour toi de laisser tomber la tienne.

- Me prends-tu pour un imbécile? Maintenant tu vas m'écouter, car je suis celui qui détient l'avantage présentement. Tu vas arrêter de faire l'idiot et tu vas trouver le moyen pour que je sorte d'ici, sinon je lui ferai tout simplement sauter la cervelle.

John devait faire vite, il ne voulait surtout pas que l'homme tombe en panique.

- Je dois me diriger vers le téléphone pour cela, et il est derrière toi, dit John.

Le voleur recula tranquillement, toujours en tenant son otage par le cou, et ramassa le couteau qu'il avait laisser par terre. Il changea ensuite tranquillement de place avec John pour que celui-ci puisse téléphoner. Il risqua ensuite un œil dehors pour voir la position des policiers, afin de ne pas se retrouver dans une ligne de tire.

Cela était une ouverture pour John, alors que ce dernier partit à toute allure vers l'homme sans qu'il ne le voit. Le voleur se tourna la tête au dernier moment, juste à temps pour assommer son otage avec son arme avant que John ne le fauche dans les jambes. Une bataille s'en suivi, John tentant de désarmer son rival, ce qu'il fit, mais il reçu ensuite un coup de genou qui lui coupa littéralement le souffle. L'homme sauta ensuite sur lui et sortit son couteau, tentant de lui couper la gorge. La force physique de John lui permit cependant de renverser l'homme en le projetant par derrière. Le négociateur se releva et se tourna vers le voleur, mais ce dernier l'accueillit avec un violent coup de pied derrière le genou qui fit retomber John sur le dos. Le braqueur se dirigea vers son arme à feu et la braqua sur lui.

- Ton petit jeu est terminer. J'ai bien compris que je n'aurai pas ce que je veux, je vais donc t'éliminer avant de me faire arrêter. Mais avant, je veux que tu vois ton échec, alors que je vais transpercer la cervelle de mon otage.

Pendant que l'homme tournait la tête pour tirer sur l'otage, John roula sur le côté et sortit son fusil pour tirer l'homme avant qu'il ne tue l'otage. John tira avec précision, atteignant la tête du voleur, mais entendit tout de même un coup de feu provenant de l'autre arme. John tourna la tête et vit que l'autre cible avait aussi été atteinte, l'otage étant mort, à quelque mètres de l'autre corps que John avait atteint.

John avait échouer.